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John F. Kennedy et la Conspiration Monolithique et Impitoyable

Laura Knight-Jadczyk
Signs of the Times
22/11/2006

Traduction française: Henri R.


Comme j'ai mentionné dans le chapitre précédent de la présente série, j'avais 11 ans et j'étais dans ma salle de classe de 6ème quand les nouvelles de l'assassinat de John F. Kennedy furent diffusées la première fois. Je n'étais pas ignorante de l'idée que le mal existait dans le monde, mais j'y ai pensé comme à quelque chose qui était personnel, local même, pas une sorte de force destructive traquant des sociétés entières. L'assassinat de John Kennedy était l'événement qui a changé tout cela. Bien que je ne fusse pas capable de le comprendre totalement alors, des années plus tard je fus mieux capable d'énoncer le visage du mal brut et effrayant que j'avais vu ce jour de novembre ensoleillé en 1963. Je ne savais pas alors que Kennedy lui-même l'avait déjà vu et l'avait décrit :

Car nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable...

Bien sûr, George W. Bush dit la même chose, n'est-ce pas ? La différence est que Kennedy est mort pour l'avoir dit, pas Bush. Cela suggère que Kennedy eût à l'esprit la conspiration réelle et Bush ou bien n'en a aucune idée, ou bien est occupé à diriger l'attention loin d'elle.

John Kennedy est allé au Texas poser les bases pour l'élection suivante. Bien qu'il n'ait pas formellement annoncé qu'il se représenterait, il était clair qu'il en avait l'intention et qu'il savait qu'il devrait compter sur le soutien du peuple. Auparavant, en septembre, il avait parlé dans neuf états en une seule semaine, se concentrant sur les ressources naturelles et les efforts de conservation, l'amélioration de l'éducation, le maintien de la sécurité nationale et la promotion des relations paisibles entre les pays. Il a parlé de l'accomplissement d'une interdiction limitée des essais nucléaires, que le Sénat venait d'approuver et le public a précisé qu'il était avec enthousiasme derrière lui. Le peuple savait qu'il se souciait de lui, de ses fils et ses filles, et surtout, de la paix.

Puis, au début de novembre, Kennedy avait tenu une session de planification politique pour l'élection prochaine. À cette réunion, il a noté l'importance de gagner la Floride et le Texas et c'est où il a annoncé ses plans pour visiter les deux états dans les deux semaines suivantes. JFK était conscient qu'un groupe d'extrémistes relativement petit, mais qui se faisait entendre, contribuait aux rapports politiques tendus au Texas et ferait probablement sentir sa présence particulièrement à Dallas, où l'Ambassadeur de l'ONU Adlai Stevenson avait été physiquement attaqué un mois plus tôt après y avoir fait un discours. D'ailleurs, on se demande si c'est juste une coïncidence que George Bush fût le gouverneur du Texas et Jeb Bush le gouverneur de la Floride pendant l'élection 2000 dont presque tout le monde qui peut lire et penser, est d'accord pour dire qu'elle a été frauduleusement volée ? Le voyage en Floride et au Texas était la première apparition publique prolongée de Jackie Kennedy depuis la perte de leur bébé Patrick en août qui avait été une épreuve cruelle pour elle et toute la famille Kennedy. Néanmoins, on a dit que JFK semblait savourer la perspective de sortir parmi le peuple.

Donc ce fut le 21 novembre que John et Jackie Kennedy partirent sur Air Force One pour un tour du Texas de deux jours et cinq villes.

Le 22 novembre 1963, le 1.036ème jour de sa présidence, une pluie fine tombait, mais une foule de plusieurs milliers de personnes s'était rassemblée dans le parking à l'extérieur de l'Hôtel du Texas où les Kennedy avaient passé la nuit. Une estrade avait été installée et le Président est sorti pour faire quelques remarques brèves sans imperméable ni parapluie.

Remarquez l'apparence narquoise du visage de Lyndon Johnson. Ce sera important plus loin.

"Il n'y a pas de cœurs faibles à Fort Worth," a-t-il commencé, "et j'apprécie que vous soyez ici ce matin. Mme Kennedy est en train de se préparer. Cela prend plus de temps, mais, bien sûr, elle paraît mieux que nous quand elle le fait." Il parla du besoin national d'être "toujours premier" dans la défense et dans l'espace, pour la croissance continue dans l'économie et "l'empressement des citoyens des Etats-Unis pour assumer les fardeaux du leadership." L'auditoire l'aimait et cet amour était palpable quand John Kennedy s'est avancé pour serrer les mains au milieu d'une mer de visages souriants.

De retour à l'intérieur de l'Hôtel, il a fait un discours à un petit déjeuner d'affaires à la Chambre de Commerce de Fort Worth pendant environ 12 minutes. Sa conversation a commencé, comme d'habitude, avec humour et l'auditoire l'a aimé! Il a continué à parler de projets de défense, soulignant le rôle de l'armée dans le maintien de la paix : "... à cette grande cause, le Texas et les Etats-Unis sont engagés."

"Engagés" fut son dernier mot prononcé publiquement.

Le 1.037ème jour n'est jamais venu.

Écoutez : Remarques au Petit déjeuner de la Chambre de Commerce de Fort Worth, Le 22 novembre 1963

Maintenant, tournons-nous vers l'Histoire Officielle qui nous dit :

"Le groupe présidentiel a quitté l'hôtel et est allé en cortège de voitures à la Base Carswell de l'Armée de l'air pour le vol de treize minutes jusqu'à Dallas. En parvenant à Love Field, le Président et Mme Kennedy ont débarqué et ont marché immédiatement vers une barrière où une foule de partisans s'était réunie et ils ont donné des poignées de main pendant plusieurs minutes. La Première Dame a été accueillie avec un bouquet de roses rouges, qu'elle a emportées avec elle dans la limousine qui attendait.

Le Gouverneur John Connally et sa femme Nellie étaient déjà assis dans la convertible ouverte quand les Kennedy montèrent et s'assirent derrière eux. Puisqu'il ne pleuvait plus, le toit transparent en plastique avait été enlevé. Le vice-président et Mme Johnson occupaient une autre voiture dans le cortège de voitures.

"Le cortège a quitté l'aéroport et a roulé le long d'un itinéraire de dix miles (16 km) qui serpentait au centre de Dallas en chemin vers le Centre Commercial où il était prévu que le Président parle à un déjeuner. Des foules de gens excités bordaient les rues faisant signe de la main aux Kennedy tandis qu'ils faisaient signe de la main en retour.

La voiture a tourné en quittant Main Street à Dealey Plaza autour de 12h30. Comme elle passait devant le Dépôt de Livres de l'École du Texas des coups de feu ont soudainement résonné sur la place. Les balles ont atteint le cou et la tête du Président et il s'est effondré vers Mme Kennedy.  Le Gouverneur a été aussi touché, dans la poitrine. " (l'accentuation est de moi)

Il se trouve qu'il y avait un spectateur dans la foule à Dealey Plaza ce jour-là avec une caméra personnelle. Abraham Zapruder, se trouvant dans le secteur qui est venu à être connu comme le "tertre herbeux," avait filmé l'assassinat. Regardons-le et continuons ensuite avec l'histoire.

Le magazine Life a acheté le film de Zapruder et l'a gardé sous clef. Pas même la Commission Warren ne l'a vu en tant que film. Le magazine a publié des images échelonnées dans un article majeur approuvant le Rapport Warren quand il a été publié en 1964 avec des légendes sous chaque image. La légende sous l'image 313, où la tête de Kennedy éclate, disait que c'était dû à un coup de feu de face. Mais cela signifiait qu'Oswald ne pouvait pas avoir tiré "le coup de face." Quand Life a compris son "erreur", il a arrêté l'impression et a récrit le titre comme un coup de feu de l'arrière. Le film démontrait aussi graphiquement que le Président et le Gouverneur du Texas John Connally, étant assis dans le strapontin devant lui, a été frappé par des balles à trois-quarts d'une seconde l'une de l'autre, ce qui signifiait qu'il devait y avoir plus qu'une arme.

La Commission Warren s'est arrangée de ce problème avec ce qui est venu à être connu comme "la Théorie de la Balle Magique."

Selon la Commission Warren, la balle tirée par Lee Harvey Oswald a frappé John Kennedy dans le dos, est ensuite montée et est sortie via sa gorge, est passée à travers le bras droit de John Connally, est allé à l'intérieur de son corps, a brisé une côte, a quitté son corps sous son mamelon droit, est entrée dans son avant-bras droit levé et a brisé son poignet, a traversé son corps à gauche et est entré dans sa cuisse gauche.

Et ensuite, magiquement, la balle est tombée d'elle-même du corps de John Connally sur la civière à l'hôpital, complètement intacte.

C'est une balle assez étonnante, ne diriez-vous pas ? Ca ressemble au Boeing 757 qui frappe prétendument le Pentagone, se liquéfie, coule dans le bâtiment et fond. Mais cette Balle Magique est encore plus étonnante quand vous la voyez en réalité. Et la voici:

Oui, Mesdames et Messieurs, c'est la balle réelle présumée qui a abattu John F. Kennedy et a blessé le Gouverneur John Connally.

Regardez-la soigneusement.

Elle semble assez brillante et lisse, n'est-ce pas ? Elle semble assez meurtrière.

A propos, cette balle a aussi laissé des fragments dans le corps du Gouverneur Connally. Il ne semble pas qu'il manque des fragments. Qu'en pensez-vous ?

Maintenant, regardons quelques autres balles. La sélection suivante est le même type exact de balle, la même fabrication, le même calibre. Elles ont toutes été tirées dans des objets différents pour voir comment ces impacts affecteraient l'apparence de la balle elle-même.

Ci-dessus, une balle qui a été tirée dans des chiffons de coton.

Tirée dans une carcasse de chèvre.

bullet

Tirée dans un cadavre humain et récupérée.

Je pense que nous pouvons décider que la balle qui est tombée de la cuisse de John Connally doit avoir été mise là. Et cela signifie qu'il y avait quelqu'un à l'hôpital qui savait quel genre d'arme était supposé être l'arme du crime et il est venu équipé.

Maintenant, nous remarquons dans l'histoire officielle ci-dessus où il est dit : "Les balles ont frappé le cou et la tête du Président et il s'est effondré vers Mme Kennedy." Ils disent qu'il a été frappé dans le cou, en premier.

Des notes de Ford offrent quelque chose de neuf pour les théoriciens du complot de JFK.

Par MIKE FEINSILBER
The Associated Press
02-07-1997

WASHINGTON – Il y a trente-trois ans, Gerald R. Ford prit son stylo et changea – si légèrement – la phrase clé de la Commission Warren sur l'endroit où une balle entra dans le corps de John F. Kennedy quand il fut tué à Dallas.

L'effet du changement de Ford fut de renforcer la conclusion de la commission qu'une seule balle passa à travers Kennedy et blessa grièvement le Gouverneur du Texas John Connally – un élément crucial dans sa découverte que Lee Harvey Oswald était le seul tireur.

Un petit changement, a dit Ford mercredi quand ce fut mis en lumière, on avait l'intention de clarifier la signification, pas de changer l'histoire.

"Mes changements n'ont rien à voir avec une théorie du complot", dit-il dans une interview téléphonique depuis Beaver Creek, Colorado. "Mes changements étaient seulement une tentative d'être plus précis".

Pouvons-nous dire "une tentative de falsification des données pour s'adapter à la fantaisie "?

Mais à nouveau, son annotation fut saisie par les membres de la communauté du complot, qui rejeta la conclusion de la commission qu'Oswald avait agit seul.

"C'est le mensonge le plus significatif dans tout le rapport de la Commission Warren", dit Robert D. Morningstar, un spécialiste en systèmes informatiques à New York qui dit qu'il avait étudié l'assassinat depuis qu'il s'était passé et avait écrit un livre sur Internet sur ce sujet.

L'effet de l'annotation de Ford, dit Morningstar, était de suggérer qu'une balle avait frappé Kennedy dans le cou, "levant la blessure de deux à trois pouces. Sans ce changement, ils n'auraient jamais pu tromper le public quant au nombre réel d'assassins."

Si la balle avait frappé Kennedy dans le dos, elle n'aurait pas pu avoir atteint Connolly de la manière dont la commission avait dit qu'elle l'avait fait, dit-il.

Cliquez pour agrandir et voir le trou de la balle dans la chemise de Kennedy.

 
 

La Commission Warren a conclu en 1964 qu'une seule balle – tirée par un Oswald "mécontent" – passa à travers le corps de Kennedy et blessa son passager de cortège, Connolly, et qu'une seconde balle, fatale, tirée du même endroit, éclata le crâne de Kennedy.

L'assassinat du président arriva le 22 novembre 1963 à Dallas; Oswald fut arrêté ce jour-là mais fut tué par balle deux jours plus tard quand il était transféré de la prison de la ville vers la prison du comté.

Les théoriciens du complot rejettent l'idée qu'une seule balle pourrait avoir touchée à la fois Kennedy et Connolly et fait autant de dommage. Ainsi ils argumentent qu'un second tireur doit avoir été impliqué.

Les changements de Ford tendent à soutenir la théorie de la balle unique en faisant une remarque spécifique que la balle entra dans le corps de Kennedy "à l'arrière du cou" plutôt que dans le haut de son dos, comme l'équipe de la commission l'avait écrit initialement.

Les notes écrites de Ford étaient contenues dans les 40.000 pages d'enregistrements gardées par J. Lee Rankin, conseiller en chef de la Commission Warren.

Elles furent rendues publiques mercredi par l' Assassination Record Review Board (Conseil de Revue des Enregistrements sur l'Assassinat), une agence créée par le Congrès pour rassembler toute preuve pertinente dans l'affaire. Les documents seront disponibles au public dans les Archives Nationales.

L'équipe de la commission avait écrit: "Une balle est entrée dans son dos à un point légèrement au-dessus de son épaule et à droite de la colonne vertébrale."

Ford suggéra de changer cela pour dire: "Une balle est entrée dans l'arrière (1) de son cou à un point légèrement à droite de la colonne vertébrale".

Ford, alors Chef Républicain à la Chambre et plus tard élevé à la présidence avec la démission en 1974 de Richard Nixon, est le seul membre survivant de la commission de sept membres présidée par le Président de la Cour Suprême Earl Warren.

Malgré que Ford ait admis falsifier la preuve dans le rapport de la Commission Warren et que la preuve montre que ses changements n'avaient rien à voir avec une quelconque tentative d'être "précis", mais plutôt de soutenir la théorie de "l'Assassin Solitaire", "les sources officielles continuent à utiliser diverses diffusions des médias pour faire de la propagande pour leur fantaisie."

Une nouvelle analyse montre qu'il n'y a pas de complot JFK

28 octobre 2003

Le réseau de télévision américain ABC a dit aujourd'hui qu'il a conduit une enquête exhaustive sur l'assassinat du Président John F. Kennedy, complète avec une reconstitution par ordinateur, qui confirme de manière irréfutable que Lee Harvey Oswald avait agi seul.

Une émission spéciale de deux heures sur l'événement est programmée sur ABC News aux Etats-Unis le 20 novembre, deux jours avant le 20e anniversaire du meurtre de Kennedy.

"Cela ne laisse pas de place au doute", dit Tom Yellin, producteur exécutif de l'émission spéciale, racontée par Peter Jennings.

Il appela les résultats de l'étude d'ABC "extrêmement puissants. C'est irréfutable". La conclusion qu'Oswald tua Kennedy tout seul pendant le cortège en voiture dans Dallas reflète celle de la Commission Warren, l'enquête officielle sur l'assassinat.

Même aujourd'hui, les sondages d'opinion publique trouvent que moins de la moitié des Américains ne sont pas d'accord avec cette conclusion, dit Gary Mack, conservateur du Musée au 6e étage sur Dealey Plaza à Dallas.

Je crois que les derniers sondages que j'ai lus indiquaient que seulement 10 % environ des Américains croient qu'il n'y avait "aucun complot."

Mais ce réservoir de doute, largement alimenté par le secret gouvernemental et le film d'Oliver Stone sur l'assassinat, est important à adresser, a dit Yellin.

Vous avez pigé, les gars. Et il n'y a aucun moyen que vous puissiez réfuter cette balle ci-dessus. C'est, sans jeu de mots intentionnel, la preuve "fumante" que la théorie du gouvernement de l'assassin unique, de la balle unique est une totale absurdité.

ABC News travailla avec un expert qui créa une reconstitution par ordinateur du tir basée sur des cartes, des plans, des mesures physiques, plus de 500  photographies, films et rapports d'autopsie, dit ABC.

Elle permet à une personne de voir la scène de n'importe quel point de vue, y compris ce que vit Oswald depuis le 6e étage de l'ancien dépôt de livres du Texas, dit Yellin.

"Quand vous faites cela, ce qui s'est passé est froidement clair", dit Yellin.

Il rejette les théories qui disent qu'il y avait un autre tireur.

A travers des interviews et autre documentation, ABC News conclut aussi que Jack Ruby, qui tua plus tard Oswald, agit simplement en raison de son amour pour Kennedy.

Ouais, juste!

La technologie par ordinateur, disponible depuis peu d'années, est maintenant fréquemment utilisée dans les enquêtes criminelles, dit Yellin.

Bien que le film de Stone soulève un doute dans l'esprit de beaucoup de gens sur la Commission Warren, il mena aussi à la diffusion de nombreux documents gouvernementaux qui avaient été antérieurement gardés cachés et alimentaient les théoriciens du complot, dit Yellin.

Oui, ces documents ont certainement "alimenté des théoriciens du complot". Il est important de rappeler ce qu'est "une théorie": c'est une conjecture raisonnable basée sur un assemblage de faits et d'observations. D'autre part, le Rapport de la Commission Warren est une fantaisie totale.

Aucun des documents n'offre une preuve significative réfutant la conclusion qu'Oswald a agi seul, dit Yellin.

Pourtant, beaucoup du cynisme des Américains sur leur gouvernement peut être suivi à la trace jusqu'au 22 novembre 1963, rendant une enquête supplémentaire importante même 40 ans plus tard, dit-il.

"Je pense que c'est très dur pour les gens d'accepter le fait que l'homme le plus puissant dans le monde puisse être tué par une personne aliénée dont la vie a été une série d'échecs jusqu'à ce point", dit Yellin.

Yellin et Mack admettent tous les deux que peu importe la preuve dont ABC News dispose, il n'est pas probable qu'elle apaise les gens qui croient différemment.

"L'histoire de ce sujet est plutôt claire", dit Mack.

"Peu importe quelle information en sort, les gens vont croire ce qu'ils veulent."

Donc, basé sur des cartes, des plans, des mesures physiques, plus de 500 photographies, films et rapports d'autopsie, les braves gens de ABC ont fait une reconstitution par ordinateur du tir qui ne laisse aucun doute qu'Oswald a agi seul.

Alléluia! Nous avons été sauvés de ces méchants théoriciens du complot, qui mentent, par Lee Harvey Oswald et ABC!

Maintenant, en plus de la Balle Magique - vous savez celle qui est entrée dans le dos de Kennedy et a ensuite bondi vers le haut,  est sortie par sa gorge et a continué à rebondir dans Connally comme un flipper mortel - il y avait une autre balle. Regardons ce que cette balle, prétendument tirée par le tireur d'élite Oswald, de l'arrière, a fait à la tête de John Kennedy :

Ensuite vient la photo trafiquée par la Commission Warren pour l'usage public. Le problème est que si la balle qui est entrée dans le dos de JFK et est sortie par sa gorge, toucha ensuite John Connally et que la deuxième balle frappa JFK à la tête, où est la blessure de sortie de la deuxième balle ?

Remarquez comment il est complètement nettoyé. Il y a une autre photo disponible sur Internet qui prétend être l'arrière de la tête de John Kennedy, moins le cerveau éclaté qui est clairement frauduleuse parce que voici les notes de l'embaumeur:

JFK Embalmer's Notes

Traduction des notes de l'embaumeur:

Thomas Evan Robinson

 

Adresse et téléphone supprimés pour respecter la vie privée de M. Robinson

 
 

26 mai 1992 (par téléphone)

Blessures:

·       Grand trou béant à l'arrière de la tête.

Rebouché en tirant un morceau de caoutchouc par-dessus. Pense que le crâne est rempli de plâtre.

·       Plus petite blessure dans la tempe droite en forme de croissant, repliée vers le bas (3 pouces)

·       (env. 2) petites blessures d'éclat sur le visage bouchées avec de la cire.

·       Blessure dans le dos (5 à 6 pouces) sous l'épaule à droite de la colonne vertébrale.

·       Glande adrénaline et cerveau enlevés.

·       autres organes enlevés et puis remis en place.

·       Pas de gonflement ou de décoloration du visage

(mort instantanée)

Le Dr Berkeley (médecin de famille) entra pour demander…

"Encore combien de temps ???"

On lui avait dit (Directeur des Pompes Funèbres) "Prenez votre temps"

Est en faveur d'exhumer le corps…pour fixer les choses une bonne fois pour toutes.

"De bons médecins légistes sauraient exactement"

La question de l'impact dans la tête qui a tué Kennedy est aussi litigieuse que la question actuelle de l'attaque du Pentagone le 11/9. Le gouvernement et ses apologistes ont produit sans fin des "experts" pour prouver qu'un coup de feu à la tête de l'arrière peut provoquer le basculement de la tête violemment en arrière - dans la direction d'où est venu le coup - et, en même temps, que le coup à l'arrière du crâne provoquera un grand morceau du crâne à partir vers l'arrière comme on peut le voir arriver dans le film de Zapruder ci-dessus. C'est en fait, ce que Jackie Kennedy essaye de récupérer, telle qu'on la voit. Voir cette pauvre femme observer la tête de son mari éclater littéralement devant ses yeux et la voir essayer de rassembler les morceaux, est insupportablement douloureux à observer.

Un des éléments clefs de "l'explication officielle" pour le tir par l'avant est qu'on peut voir la tête de John Kennedy avancer d'abord, et ensuite basculer violemment en arrière. D'une façon ou d'une autre c'est déformé en une sorte de physique extra-terrestre pour être une preuve solide pour le coup de l'arrière, c'est-à-dire le Dépôt de Livres de l'École du Texas, c'est-à-dire Oswald. Peu importe qu'il y ait des milliers, sinon des millions, de cas où le point d'entrée est petit et où la balle arrache un trou gigantesque en sortant; un trou exactement comme celui à l'arrière de la tête de John Kennedy.

Il se trouve que peu de temps après l'assassinat, le résidant de Dallas Billy Harper marchait sur la médiane à Dealey Plaza et trouva un morceau du crâne Présidentiel dans l'herbe. Pris ensemble avec le mouvement violent de la tête Présidentielle, le pulvérisation de sang aspergeant les flics à moto qui étaient derrière Kennedy à son arrière gauche et ensuite les pièces de crâne trouvées dans l'herbe en face du tertre herbeux, la répartition des débris indiquent clairement que l'impact sur la tête est venu de face. Des milliers d'affaires d'homicide ont été poursuivies en justice sur ce type d'évidence. Si, soudainement les règles de preuve criminelle devaient être changées complètement par tous les soi-disant experts essayant de soutenir la Fantaisie Warren, alors combien d'affaires criminelles pourraient être renversées en nous basant sur la loi de la physique nouvellement découverte ?

Il y a une raison pour laquelle la tête de JFK avance juste une fraction de seconde avant qu'elle ne se déplace violemment en arrière et à gauche.

De la confession de James Files:

"Quand je suis arrivé au point où j'ai pensé que ce serait le dernier domaine de tir, je m'étais réglé sur le côté gauche de la tête que j'avais, parce que si j'attendais plus longtemps alors Jacqueline Kennedy aurait été sur la ligne de tir et j'avais été instruit pour que rien ne lui arrive et à ce moment-là j'ai supposé que c'était ma dernière chance pour tirer et il n'avait toujours pas été frappé à la tête. Ainsi, quand j'ai tiré ce coup, M. Nicoletti et moi avons tiré approximativement au même moment où la tête commençait à avancer puis elle est partie en arrière. Je devrais dire que son projectile a frappé approximativement un 1000ème de seconde en avance du mien peut-être, mais c'est ce qui a commencé à pousser la tête en avant qui a été la cause que j'ai manqué l'œil gauche et que je suis entré sur le côté gauche de la tempe."

Houston Chronicle publia le 22 novembre 1963 :

Le Dr Kemp Clark, neurochirurgien, a dit : "J'ai été appelé parce que le Président avait eu une blessure cérébrale." "C'était apparent que le Président avait eu une blessure mortelle," a dit le Dr Clark.

"Un projectile était entré et sorti de l'arrière de sa tête, causant des lacérations étendues et une perte de tissu cérébral. Peu de temps après être arrivé, le cœur du Président s'est arrêté. Nous avons essayé la réanimation, en commençant un massage du cœur la poitrine fermée, mais en vain.

"Nous étions capables d'obtenir un pouls palpable par cette méthode, mais de nouveau en vain.

Le président Kennedy est mort sur la table d'urgence après 20 minutes.

Voir : J'ai abattu JFK. Les résultats d'une enquête privée impartiale de 10 ans, fournissent la première preuve solide de conspiration en 40 ans!

 

Retournons maintenant à notre histoire officielle de ce jour :

"La voiture fonça au Parkland Memorial Hospital, juste à quelques minutes. Mais il y avait peu qui pouvait être fait pour le Président. Un prêtre Catholique a été appelé pour administrer les derniers sacrements et à 13h00 John F. Kennedy a été déclaré mort. Le gouverneur Connolly, quoique sérieusement blessé, se rétablirait.

"Le corps du Président a été apporté à Love Field et placé dans Air Force One. Avant que l'avion ne parte, Lyndon B. Johnson au visage sinistre était debout dans le compartiment serré, entassé et a prêté serment pour la prise de fonction, administrée par le Juge de la Cour Fédérale américaine Sarah Hughes. La brève cérémonie a eu lieu à 14h38"

Comme j'ai déjà mentionné dans un chapitre précédent, Lyndon Johnson avait déjà rédigé le Mémorandum 273 de Sécurité Nationale, daté du 21 novembre 1963 - le jour avant que John Kennedy ne rencontre son destin à Dallas – ce qui suggère que LBJ ait su quelque chose. Donc, regardons Lyndon Baines Johnson au "visage sinistre" prêtant serment pour la prise de fonction comme décrit ci-dessus :

Lyndon Johnson au "visage sinistre" est assermenté comme Président.

L'homme à gauche avec un nœud papillon est le Membre du Congrès Albert Thomas, clignant de l'œil à LBJ. Quoique vous ne puissiez pas voir son visage directement, il est clair que LBJ lui répond en souriant. Mme Bird ressemble au chat qui a mangé le canari.

Qu'y avait-il, on se demande, pour cligner de l'œil ? Kennedy avait parlé à un dîner pour honorer Thomas le soir précédent...

Barr McClellan, père d'un ancien porte-parole de la presse de la Maison Blanche Scott McClellan et le Commissaire de la Food and Drug Administration Mark McClellan, a écrit un livre intitulé : "Sang, Argent et Pouvoir : Comment L.B.J. a Tué J.F.K". Sa thèse était que l'ancien Président Lyndon B. Johnson était derrière l'assassinat de John F. Kennedy. Son livre contient apparemment des photographies, des copies de lettres, des interviews d'initiés et des détails d'empreintes digitales comme preuve que Edward A. Clark, le chef puissant de l'équipe légale privée et d'affaires de Johnson et ancien ambassadeur en Australie, a mené le plan et l'opération de camouflage pour l'assassinat de 1963 à Dallas.

Bien, je ne pense pas que LBJ fut derrière cela, mais nous soupçonnons déjà qu'il était impliqué - comme l'étaient 90 % des déviants pathologiques aux Etats-Unis à cette époque – dont la plupart était des hommes d'affaires, des truands et des politiciens prospères.

Le fait est que l'assassinat de John F. Kennedy était une forme de contrôle du gouvernement des Etats-Unis. C'est la forme suprême de contrôle du processus d'élection. La compréhension de cela peut nous pousser à comprendre ce qui est arrivé à notre pays depuis ce jour épouvantable en novembre, il y a 43 ans. Étudié soigneusement, l'assassinat de John F. Kennedy peut révéler qui contrôle vraiment les Etats-Unis et ses politiques, particulièrement la politique étrangère. Comme John Kennedy lui-même a dit :

Car nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d'influence; par infiltration au lieu d'invasion; par subversion au lieu d'élections, par intimidation au lieu de libre choix; par guérillas la nuit au lieu d'armées en plein jour. C'est un système qui a enrôlé des ressources humaines et matérielles énormes dans la construction d'un tricot serré, une machine extrêmement efficace qui combine armée, diplomatie, renseignement, opérations économiques, scientifiques et politiques. Ses préparatifs sont cachés, non publiés. Ses erreurs sont enterrées et ne font pas les gros titres, on fait taire ses dissidents, on ne les glorifie pas; aucune dépense n'est mise en question, aucune rumeur n'est imprimée, aucun secret n'est révélé. Elle conduit la guerre froide, en bref, avec une discipline de guerre qu'aucune démocratie n'espérerait jamais vouloir égaler...

Il avait raison; mais je pense qu'il n'avait pas compris jusqu'où ils désiraient - et étaient capables – d'aller.

De nos jours, nous savons jusqu'où ils sont capables et veulent aller : regardez juste les événements du 11 septembre 2001, qui portent le même cachet indubitable de l'assassinat de John F. Kennedy. En fait, comme j'ai mentionné auparavant, le même gang est impliqué.

Aujourd'hui, nous vivons dans un pays où les pauvres et les vieux ne peuvent pas se permettre de services médicaux, quelque chose que John Kennedy essayât de corriger. Nous vivons dans un pays où l'économie tombe en morceaux; un pays où 44 millions de personnes vivent avec moins de 12.000 $ par an; une nation où plus de 2 millions de personnes sont sans foyer; un pays où tout le système de médias appartient seulement à six méga conglomérats de médias; le pays avec le plus haut taux de crimes dans le monde (sans être en guerre); un pays avec la plus grande population de prisonniers du monde; une société où 25 % d'enfants de moins de 12 ans vivent dans la pauvreté; un pays qui donne à Israël des milliards de dollars par an pour tuer et mutiler des Palestiniens tandis qu'il y a plus de 2 millions sans foyer dans nos propres rues; un pays où le gouffre entre les riches et les pauvres est plus large que dans presque tous les autres pays civilisés; une nation qui soutient des dictatures en Arabie Saoudite, Egypte, Jordanie et beaucoup d'autres pays dans le monde entier; Un pays qui espionne ses propres citoyens, a saccagé la Constitution; un pays qui a entrepris de torturer les gens quand on sait qu'il est peu probable qu'un renseignement qui vient d'une personne torturée soit précis; un pays où le gouvernement est plein de corruption pire que n'importe quelle république bananière; un pays où 40 pour cent des sans-abri sont des vétérans militaires, dans un pays avec les taux de suicide des adolescents les plus hauts du monde; et tous ces points étaient des questions qui concernaient John F. Kennedy, des questions auxquelles il travaillait très durement - contre un système têtu, oligarchique – pour les corriger.

Quand les gens partout dans la nation et le monde ont lutté pour donner un sens à  l'acte insensé du massacre d'un homme qui avait l'intelligence et les tripes pour résoudre les problèmes de l'Amérique et exprimer leurs sentiments sur la vie et l'héritage du Président Kennedy, plusieurs se sont rappelés ces mots de son discours inaugural qui avaient maintenant acquis une nouvelle signification :

"Tout cela ne sera pas fini dans les cent premiers jours, ni dans les mille premiers jours, ni dans la vie de cette administration. Ni même peut-être dans notre vie sur cette planète. Mais commençons."

John Kennedy était en route pour donner un discours cet après-midi ensoleillé à Dallas, au Texas, il y a 43 ans. Je pense qu'il n'est que juste que nous fermions ce chapitre avec les mots qu'il avait l'intention de dire, mais n'en a jamais eu l'occasion :

Remarques Préparées pour être délivrées au Centre Commercial à Dallas

Président John F. Kennedy le 22 novembre 1963

"Je suis honoré d'avoir cette invitation à présider la réunion annuelle du Conseil des Citoyens de Dallas, avec les membres de l'Assemblée de Dallas - et heureux d'avoir cette occasion de saluer le Centre de Recherches Diplômé du Sud-ouest.

Il est approprié que ces deux symboles du progrès de Dallas soient unis dans le patronage de cette réunion. Car ils représentent les meilleures qualités, me dit-on, du leadership et du savoir dans cette ville - et le leadership et le savoir sont indispensables l'un à l'autre. L'avancement du savoir dépend du leadership de la communauté pour le support financier et politique et les produits de ce savoir, à leur tour, sont essentiels pour les espoirs du leadership pour le progrès continu et la prospérité. Ce n'est pas une coïncidence que ces communautés possédant le meilleur de la recherche et des équipements universitaires - du MIT à Cal Tech - aient tendance à attirer les industries nouvelles et en croissance. Je félicite ceux d'entre vous ici à Dallas qui ont reconnu ces faits de base par la création du Centre de Recherches Diplômé unique et prévisionnel.

Ce lien entre le leadership et le savoir est non seulement l'élément essentiel au niveau de la communauté. Il est même plus indispensable dans les affaires mondiales. L'ignorance et la désinformation peuvent handicaper le progrès d'une ville ou d'une société, mais, si elles sont autorisées à prévaloir dans la politique étrangère, elles peuvent handicaper la sécurité de ce pays. Dans un monde de problèmes complexes et ininterrompus, dans un monde plein de frustrations et d'irritations, le leadership de l'Amérique doit être guidé par les feux du savoir et de la raison ou bien ceux qui confondent la rhétorique avec la réalité et le plausible avec le possible gagneront l'ascendant populaire avec leurs solutions apparemment rapides et simples de chaque problème mondial.

Il y aura toujours des voix dissidentes entendues au pays, exprimant l'opposition sans alternatives, trouvant la faute, mais sans jamais favoriser, percevant les ténèbres de chaque côté et cherchant l'influence sans responsabilité. Ces voix sont inévitables.

Mais aujourd'hui on entend d'autres voix dans le pays - des voix prêchant des doctrines complètement sans rapport avec la réalité, complètement inadaptées aux années soixante, des doctrines qui supposent apparemment que les mots suffiront sans armes, que les vitupérations sont aussi bonnes que la victoire et que la paix est un signe de faiblesse. À un moment où la dette nationale est fermement réduite en termes de son fardeau sur notre économie, ils voient la dette comme l'unique plus grande menace à notre sécurité. À un moment où nous réduisons fermement le nombre d'employés fédéraux servant chaque millier de citoyens, ils craignent ces hordes supposées de fonctionnaires beaucoup plus que les hordes réelles d'armées opposées.

Nous ne pouvons pas nous attendre à ce que chacun, pour utiliser l'expression d'il y a une décennie, "parle de manière sensée aux Américains." Mais nous pouvons espérer que moins de gens écouteront le non-sens. Et la notion que cette Nation est dirigée pour la défaite par le déficit ou que la force n'est qu'une question de slogans, n'est qu'une simple absurdité.

Je veux discuter avec vous aujourd'hui le statut de notre force et de notre sécurité parce que cette question appelle clairement aux qualités les plus responsables du leadership et les produits les plus éclairés de l'érudition. Car cette force et cette sécurité de la Nation ne sont pas obtenues facilement ou à bon marché, ni ne sont expliquées rapidement et simplement. Il y a beaucoup de sortes de force et une seule sorte ne suffira pas. La force nucléaire écrasante ne peut pas arrêter une guérilla. Les pactes formels d'alliance ne peuvent pas arrêter la subversion interne. Afficher la richesse matérielle ne peut pas arrêter la désillusion de diplomates soumis à la discrimination.

Par-dessus tout, les mots seuls ne sont pas suffisants. Les Etats-Unis sont une nation paisible. Et où notre force et détermination sont clairs, nos mots ont besoin simplement de transmettre la condamnation, pas la belligérance. Si nous sommes forts, notre force parlera pour elle. Si nous sommes faibles, les mots ne seront d'aucune aide.

Je me rends compte que cette Nation a souvent tendance à identifier des tournants dans des affaires mondiales avec les annonces principales qui les ont précédés. Mais ce n'était pas Doctrine de Monroe qui a maintenu toute l'Europe loin de cet hémisphère - c'était la force de la flotte britannique et la largeur de l'Océan Atlantique. Ce n'était pas le discours du Général Marshall à Harvard qui a maintenu le Communisme hors de l'Europe occidentale - c'était la force et la stabilité rendues possibles par notre aide militaire et économique.

Dans cette administration aussi, il a été nécessaire de temps en temps de publier des avertissements spécifiques - des avertissements disant que nous ne pouvions pas rester les bras croisés et regarder les Communistes vaincre le Laos par la force, ou intervenir au Congo, ou avaler Berlin-Ouest, ou maintenir des missiles offensifs sur Cuba. Mais tandis que nos buts étaient atteints au moins temporairement dans ces cas-ci et ces cas-là, notre défense réussie de la liberté n'était pas due aux mots que nous avons utilisés, mais à la force que nous étions prêts à utiliser au nom des principes que nous sommes prêts à défendre.

Cette force est composée de nombreux éléments différents, allant des forces de dissuasion les plus massives aux influences les plus subtiles. Et tous les types de force sont nécessaires - aucune sorte ne pourrait faire le travail seule. Prenons un moment, donc, pour passer en revue ce progrès de la Nation dans chaque secteur principal de la force.

I.

D'abord, comme le Secrétaire McNamara a fait comprendre dans son discours lundi dernier, la puissance nucléaire stratégique des Etats-Unis a été si énormément modernisée et étendue au cours des 1.000 derniers jours, par la production rapide et le déploiement des systèmes de missiles les plus modernes, que tous les agresseurs potentiels sont clairement confrontés maintenant avec l'impossibilité d'une victoire stratégique - et la certitude de destruction totale - si par une attaque imprudente ils devaient jamais nous imposer la nécessité d'une réponse stratégique.

En moins de 3 ans, nous avons augmenté de 50 pour cent le nombre de sous-marins Polaris prévus pour être dans la force à l'exercice suivant, accru par plus de 70 pour cent notre programme total d'achat de Polaris, accru par plus de 75 pour cent notre programme d'achat de Minuteman, augmenté de 50 pour cent la partie de nos bombardiers stratégiques en alerte de 15 minutes et accru aussi de 100 pour cent le nombre total d'armes nucléaires disponibles dans nos forces d'alertes stratégiques. Notre sécurité est en outre augmentée par les mesures que nous avons prises quant à ces armes pour améliorer la vitesse et la certitude de leur réponse, leur rapidité de réponse à tout moment, leur capacité de réchapper d'une attaque et leur capacité d'être soigneusement contrôlées et dirigées par des opérations de commande sécurisées.

II.

Mais les leçons de la dernière décennie nous ont appris que la liberté ne peut pas être défendue par la puissance nucléaire stratégique seule. Nous avons donc accéléré dans les 3 dernières années le développement et le déploiement d'armes nucléaires tactiques et augmenté de 60 pour cent les forces nucléaires tactiques déployées en Europe occidentale.

Ni l'Europe ni un autre continent ne peut compter sur les seules forces nucléaires, qu'elles soient stratégiques ou tactiques. Nous avons radicalement amélioré la vivacité de nos forces conventionnelles - accru de 45 pour cent le nombre de divisions de l'armée prêtes au combat, avons augmenté de 100 pour cent l'obtention d'armes modernes et l'équipement de l'armée, avons augmenté de 100 pour cent notre construction, conversion et programme de modernisation des navires, avons augmenté aussi de 100 pour cent notre acquisition d'avions tactiques, avons augmenté de 30 pour cent le nombre d'escadrons aériens tactiques et avons augmenté la force des Marines. Comme "l'Opération Big Lift" du mois dernier - qui a a pris son origine ici au Texas - a montré si clairement, cette Nation est préparée comme jamais auparavant pour déplacer des nombres substantiels d'hommes en étonnamment peu de temps à des positions avancées n'importe où dans le monde. Nous avons augmenté de 175 pour cent l'acquisition d'avions cargos et nous avons déjà réalisé une augmentation de 75 pour cent de notre capacité de pont aérien stratégique existante. Finalement, allant au-delà des rôles traditionnels de nos forces militaires, nous avons réalisé une augmentation de presque 600 pour cent dans nos forces spéciales - ces forces qui sont préparées pour travailler avec nos alliés et amis contre les guérilleros, les saboteurs, les insurgés et les assassins qui menacent la liberté d'une façon moins directe mais également dangereuse.

III.

Mais la puissance militaire américaine pourrait ne pas devoir et ne pas avoir besoin d'être seule contre les ambitions du communisme international. Notre sécurité et notre force, en dernière analyse, dépendent directement de la sécurité et de la force des autres et c'est pourquoi notre aide militaire et économique joue un rôle si important en permettant à ceux qui vivent à la périphérie du monde communiste de maintenir leur indépendance de choix. Notre aide à ces nations peut être douloureuse, risquée et coûteuse, comme c'est le cas en Asie du Sud-Est aujourd'hui. Mais nous n'osons pas être fatigués de la tâche. Car notre aide rend possible le placement de 3 à 5 millions d'hommes de troupes alliées le long de la frontière communiste à un dixième du coût de maintien d'un nombre comparable de soldats américains. Une percée communiste réussie dans ces secteurs, nécessitant l'intervention directe des Etats-Unis, nous coûterait plusieurs fois notre programme d'aide à l'étranger et pourrait aussi nous coûter lourdement en vies américaines.

Environ 70 pour cent de notre aide militaire vont à neuf pays clefs placés sur des frontières du bloc Communiste, ou proches - neuf pays confrontés directement ou indirectement avec la menace d'agression communiste - le Vietnam, la Chine Libre, la Corée, l'Inde, le Pakistan, la Thaïlande, la Grèce, la Turquie et l'Iran. Personne dans ces pays ne possède à lui tout seul les ressources pour maintenir les forces que nos propres Chefs d'Etat-Major pensent nécessaires dans l'intérêt commun. Réduisant nos efforts pour former, équiper et aider leurs armées ne peuvent qu'encourager la pénétration communiste et exiger à temps un déploiement accru outre-mer de forces américaines de combat. Et la réduction de l'aide économique nécessaire pour soutenir ces nations qui entreprennent d'aider à défendre la liberté peut avoir le même résultat désastreux. Bref, les 50 milliards de $ que nous dépensons chaque année à notre propre défense pourraient bien être inefficaces sans les 4 milliards de $ requis pour l'aide militaire et économique.

Notre programme d'aide à l'étranger ne grandit pas en taille, il est, au contraire, plus petit maintenant que dans les années précédentes. Il a eu ses faiblesses, mais nous avons entrepris de les corriger. Et la façon appropriée de traiter les faiblesses est de les remplacer par la force, ne pas augmenter ces faiblesses en émasculant des programmes essentiels. Dollar pour dollar, dans le gouvernement ou en dehors, il n'y a pas de  meilleure forme d'investissement dans notre sécurité nationale que notre programme d'aide à l'étranger très abusé. Nous ne pouvons pas nous permettre de le perdre. Nous pouvons nous permettre de le maintenir. Nous pouvons sûrement nous permettre, par exemple, de faire autant pour nos 19 voisins indigents de l'Amérique Latine que le bloc Communiste envoie à la seule île de Cuba.

IV.

J'ai parlé de force en grande partie en termes de la force de dissuasion et de la résistance à l'agression et à l'attaque. Mais, dans le monde d'aujourd'hui, la liberté peut être perdue sans qu'un coup de feu soit tiré, par des votes aussi bien que par des balles. Le succès de notre leadership est dépendant du respect envers notre mission dans le monde aussi bien que de nos missiles – d'une identification plus claire des vertus de la liberté aussi bien que des maux de la tyrannie.

C'est pourquoi notre Agence de l'Information a doublé la puissance d'émission en ondes courtes de la Voix de l'Amérique et a augmenté le nombre d'heures de diffusion de 30 pour cent, a augmenté la radiodiffusion en langue espagnole à Cuba et en Amérique Latine de une à 9 heures par jour, a augmenté sept fois à plus de 3 à 5 millions d'exemplaires le nombre de livres américains traduits et publiés pour des lecteurs latino-américains et a pris un tas d'autres mesures pour porter notre message de vérité et de liberté à tous les coins éloignés de la terre.

Et c'est aussi pourquoi nous avons regagné l'initiative dans l'exploration du cosmos, faisant un effort annuel plus grand que le total combiné de toutes les activités spatiales entreprises pendant les années cinquante, lançant plus de 130 véhicules en orbite terrestre, mettant en opération réelle des satellites météo et de communications et précisant à tous que les Etats-Unis d'Amérique n'ont aucune intention de terminer second dans l'espace.

Cet effort est cher - mais il paye de lui-même, pour la liberté et pour l'Amérique. Car il n'y a plus de crainte dans le monde libre qu'une avance communiste dans l'espace devienne une affirmation permanente de suprématie et la base de la supériorité militaire. Il n'y a plus aucun doute sur la force et la compétence de la science américaine, l'industrie américaine, l'éducation américaine et le système de libre entreprise américain. Bref, notre effort spatial national représente un grand gain dans notre force nationale et une grande ressource de notre force nationale, - et tant le Texas que les Texans contribuent énormément à cette force.

Finalement, il devrait être clair à ce jour qu'une nation ne peut être plus forte à l'étranger qu'elle n'est chez elle. Seule une Amérique qui pratique ce qu'elle prêche à propos des droits égaux et la justice sociale sera respectée par ceux dont le choix affecte notre avenir. Seule une Amérique qui a entièrement instruit ses citoyens est entièrement capable d'aborder les problèmes complexes et percevoir les dangers cachés du monde dans lequel nous vivons. Et seule une Amérique qui grandit et prospère peut économiquement supporter le potentiel de défense mondial de liberté, en démontrant à tous ceux concernés les occasions de notre système et société.

Il est donc clair que nous renforçons notre sécurité aussi bien que notre économie par nos récentes augmentations record du revenu national et de la production - en déferlant en avance sur la plupart de l'Europe occidentale dans le taux d'expansion des affaires et la marge de profits des entreprises, en maintenant un niveau de prix plus stable que presque n'importe lequel de nos concurrents étrangers et en diminuant l'impôt sur le revenu personnel et des sociétés de quelque 11 milliards de $, comme j'ai proposé, assurer à cette Nation l'expansion la plus longue et la plus forte dans notre histoire économique de temps de paix.

Cette production totale de la Nation - qu'il y a 3 ans était au niveau de 500 milliards de $ - passera bientôt 600 milliards de $, pour une hausse record de plus de 100 milliards de $ en 3 ans. Pour la première fois dans l'histoire nous avons 70 millions d'hommes et femmes au travail. Pour la première fois dans l'histoire, la moyenne des bénéfices de l'industrie ont excédé 100 $ par semaine. Pour la première fois dans l'histoire les profits de société après impôts - qui sont montés de 43 pour cent en moins de 3 ans - ont un niveau annuel de 27,4 milliards de $.

Mes amis et concitoyens : je cite ces faits et ces chiffres pour préciser que l'Amérique est aujourd'hui plus forte que jamais auparavant. Nos adversaires n'ont pas abandonné leurs ambitions, nos dangers n'ont pas diminué, notre vigilance ne peut pas être détendue. Mais maintenant que nous avons la force de l'armée, des scientifiques et de l'économie pour faire tout ce qui doit être fait pour la conservation et la promotion de la liberté.

Cette force ne sera jamais utilisée à la poursuite d'ambitions agressives - elle sera toujours utilisée dans la poursuite de la paix. Elle ne sera jamais utilisée pour promouvoir des provocations - elle sera toujours utilisée pour promouvoir le règlement paisible des querelles.

Nous dans ce pays, dans cette génération, sommes - par destin plutôt que par choix - les sentinelles sur les murs de la liberté du monde. Nous demandons donc que nous puissions être dignes de notre pouvoir et responsabilité, que nous puissions exercer notre force avec sagesse et retenue et que nous puissions réaliser dans notre temps et pour toujours la vision antique de "la paix sur la terre, la bonne volonté envers les hommes." Cela doit toujours être notre but, et la justice de notre cause doit toujours être à la base de notre force. Car comme il a été écrit, il y a longtemps : "Si le Seigneur ne garde pas la ville, en vain la sentinelle veille."

Remarques Préparées pour être délivrées au Centre Commercial à Dallas, Le 22 novembre 1963


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